Il y a des jours dont la pureté même est comme une injustice … et seule la beauté, surtout celles des Quatuors à cordes de Schubert, nous console …
Hippolyte Ludo dont les sculptures bougent et qui expose souvent à la Villa DATRIS m’avait offert ce poème :
C’est Aile qu’on appelle le passeur de berges,
qui réconcilie les contraires et qui, de chacun de nos jours,
chevauche le vent,
avec pour semences des cercles où sourdre,
sève dans la pâture des météores
Vole mouette ! Mon coeur est falaises où nicher
Avec leurs yeux de craie j’écrirai ton touché
J’ancrerai la parole à tes enfances de pivoine
Dans le carmin des lèvres
Ou les blancheurs opalescentes
Les pourpres éclaboussés
C’est Aile qui habite les marelles ……….
Pivoines by Leslie
Arnaud
septembre 29, 2012
Oh quel joli poème!! ca fait du bien ça!
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ladyapolline
septembre 29, 2012
C’était fait pour ça ! C’est un ami qui l’a écrit pour moi ! Un très beau cadeau !
Bel après-midi à toi.
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Maïté/Aliénor
octobre 2, 2012
Il écrit donc encore…
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ladyapolline
octobre 2, 2012
Mais oui ! et il expose ! … Mais je n’en sais pas plus. J’espère que ce qui n’allait pas dans sa vie, s’est arrangé …
Plein de bisous.
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Maïté/Aliénor
octobre 3, 2012
On en reparlera de vive voix. Dire qu’il expose là-bas est un bien grand mot, d’après ce que je sais.
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ladyapolline
octobre 3, 2012
Peut-être n’est-elle pas objective, car il figure bien dans le catalogue des exposants. En tous cas, c’est bien qu’il se maintienne et j’espère qu’il fera encore de belles choses même s’il est douleur à son entourage.
A très vite.
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ladyapolline
octobre 20, 2012
Le changement, c’est de la tête aux pieds !
Bz
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